Rouge, Noir et Ignorant

De Edward Bond

Point de psychologie, de fiction ordonnée, la logique ici s’articule sur la langue et le dilemme paradoxal de chaque image. Elle est analytique, sans didactisme, en coup de poing sans manichéisme, force d’un des plus grands dramaturges contemporains. (..) Avec une prise de parole claire, une énergie rythmée en contrastes

Fin de Partie

De Samuel Beckett

Guy Pion et Alexandre von Sivers sont d’époustouflants déchets de déshumanité au seuil du pourrissement éternel et Quentin Milo et Béatrix Ferauge, de patients détritus en quête de décharge publique…

Des performances fabuleuses.

Didier Toussaint – RTBF Hainaut

Fructueuse collaboration décidément, que celle qui lie depuis trois saisons le Théâtre

L’Opéra de Quat’sous

De Bertolt Brecht, Kurt Weill et Elisabeth Kauffman

Un enchantement ! Cette superproduction de plus de trois heures, qui rassemble 17 comédiens, des figurants et 9 musiciens, n’ennuie jamais tout en respectant le spectateur. Elle donne un reflet avantageux du savoir-faire de nos artistes de la scène en cette fin des années 90.

Philip Tirard – La libre

Mort d’un commis voyageur

De Arthur Miller

Le roi de la fête acerbe à laquelle nous convie Arthur Miller est, sans nul doute, Guy Pion. Le directeur du théâtre de l’Eveil, qui coproduit le spectacle, est désarmant, écrasant de sincérité dans la peau du commis. Et la brochette de talentueux comédiens qui gravitent autour de lui, rehausse

Arlequin valet de deux maîtres

de Carlo Goldoni

…sous la férule de BOSO ils ont accompli des prodiges… – Le Vif/L’Express

…un vrai feu d’artifice – Sud Ouest

…un Arlequin ébouriffant – Ouest-France

Un spectacle festin farci de péripéties – Le Soir

e viva il teatro! – La Wallonie

Avec les comédiens, qui n’ont pas fait que nous

Ca ira mieux demain

D'après Franca Rame et Dario Fo

La puissance d’évocation des deux comédiennes de ce spectacle ravageur est magnifique.Béatrix Ferauge et Aïcha Ait-Taib traversent le temps de la mémoire des femmesavec cette faculté rare qui est de nous rendre capable de lire, de bout en bout,le théâtre des violences et des absurdités.

Daniel SIMON

Le marchand de Venise

de William Shakespeare

Une authentique réussite.

Effel – La Province

Un « Marchand de Venise » à inscrire dans les annales.

Claire BORTOLIN – Nord Eclair

Le journal intime de Sally Mara

D'après Raymond Queneau

On se régale de bout en bout, en phase avec les comédiens.C’est un délice permanent et l’on sent chez ces acteurs, dont la plupart jouent ensemble de très longue date, un vrai et contagieux esprit de compagnie.Le Théâtre de l’Eveil tient là un succès durable.

Jacques DE DECKER – Le

Une station service

de Gildas Bourdet

On est captivé non seulement par l’accent d’authenticité des personnages, mais par la vision du corps social qui soutient l’ensemble et qui ne se réduit pas à la dérision, la dénonciation ou l’application de recettes idéologiques. Vue super sur la vie ordinaire.

Jacques De decker – Le Soir

Tout ce

La Ronde

De Arthur Schnitzler

Ils auraient pu faire de LA RONDE une perverse histoire de fesses : ils en ont extrait l’émergence des années ’30 et la naissance de la bête immonde lovée dans l’épaisseur des personnages. Un travail remarquable dans un décor diaphane pour faire comme si le mal jouait à se faire

Passagères

De Daniel Besnehard

Spectacle magique. A chaque instant, Guy PION a mis en scène un drame humain auquel il a donné une grande profondeur, œuvre dense, touchante à remuer les plus endurcis d’entre nous.

Pierre Maury – Le Soir

Le talent du metteur en scène, c’est d’avoir su mettre en valeur la lourdeur

Sauvé(s)

De Edward Bond

Parler de violence avec violence et sans aucune pudeur n’est-ce pas la meilleure façon de réveiller un public trop souvent confortablement bercé par des littératures bien esthétiques mais planantes? Ce spectacle est un événement tant sans son texte que dans la mise en scène, la scénographie extraordinaire et le jeu