Applaudir ou ne pas applaudir?
Là est la question. On applaudira à tout rompre, mus par la pertinence et la beauté du spectacle, sa créativité parfaitement aboutie et l’élan vital et spirituel qui nous habite encore.1984 est un roman cultissime écrit par George Orwell en 1949. Dans ce chef-d’œuvre d’anticipation, George Orwell imagine un monde qui fait froid dans le dos. Alors quand Thierry Debroux l’adapte au théâtre, on fonce voir le résultat ! 1984 : voici la parfaite piqûre de culture pour retourner au théâtre.
Mensonges d’Etat
George Orwell à l’heure des fake news
Porter sur scène le chef d’œuvre de George Orwell qui marque encore l’inconscient collectif est un véritable défi qui suscite forcément la curiosité. Pari amplement réussi grâce à une écriture et une mise en scène qui plongent littéralement le public dans l’univers cauchemardesque de 1984 en prise avec notre époque.Yves Poey – lesuricate
et
aubalconBRUXELLES, « 1984 » DI ORWELL AL THÉÂTRE ROYAL DU PARC FINO AL 6 APRILE. DA NON PERDERE! LA RECENSIONE
In un capolavoro di immaginazione la fantasia di Orwell ha creato in 1984 un mondo agghiacciante di una nazione diretta da qualcosa che entra anche nei pensieri della gente, ne manipola i sentimenti, ne asserve le azioni. Uomini ridotti a nulla.Brillant tout simplement
Et si en imaginant cette dystopie terrifiante, George Orwell s’était juste trompé de date ?
La chute finale que je vous laisse le soin de découvrir en allant voir la pièce, est une trouvaille géniale qui nous fait penser que tout n’est peut-être pas totalement perdu.JP Vanderlinden – branchesculture
GRANDIOSE… ATTENDEZ-VOUS A FLIPPER !
Julia Garlito – lebruitdebruxelles
“1984”, un spectacle musical et terrifiant
Big Brother soit avec vous, et avec votre esprit
Ainsi remixé en un cocktail puissant, le célèbre roman d’Orwell semble plus que jamais proche de nous.Une excellente coproduction du Théâtre du Parc, du Théâtre de l’Éveil et de la Coop asbl, véritable objet culturel de santé politique par les temps qui courent.
1984
de Thierry Debroux (d'après George Orwell)
